Le suicide d’un “hussard de la République”

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Réactions à cet article35 commentaires

• Par Anonyme-77656, le 25 mar à 08:29

  

  Des directeurs sans statut

  Cet article montre l'impossibilité pour les directeurs d'école d'exercer leurs "fonctions". Ils sont responsables de tout mais ne peuvent régler les problèmes que par la "conciliation"...

  
  
  
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• Par Anonyme-77656, le 25 mar à 18:05

  

  La faute à qui ?

  Certainement pas à l'enseignante qui s'était faite son ennemie mais bien à une administration qui, malheureusement, ne prend que très rarement en compte les difficultés quotidienne que rencontrent les enseignants. Là où il y avait difficultés, il y aurait dû y avoir conciliation. Mais nos inspecteurs ne sont pas formés à ça et ne maîtrisent que rarement les problèmes de communication existant dans dans tout métier. Ils passent plutôt leur temps à juger et àa se défiler dès qu'ils ne se sentent plus maître de la situation. C'est lamentable et notre ministère qui réduit à coup de fermetures les postes devrait quand même commencer à réfléchir. M. Monfray n'est malheureusement que l'arbre qui cache la forêt du désespoir des enseignants dans leur travail et de la bêtise de nos décideurs qui ne voient plus que par le bout de la lorgnette budgétaire et oublient de plus en plus souvent l'humain...

  
  
  
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• Par Anonyme-77656, le 25 mar à 18:17

  

  DORMIR MAINTENANT?

  J'espère vivement que certaines personnes de ce village de dracé vont mal dormir et pensé au mal qu'ils ont cosé! mais il est trop tard!!!

  
  
  
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• Par Anonyme-77656, le 26 mar à 06:46

  

  Comme quoi !

  Et à l'éducation nationnale quand on les écoutent ils sont parfaits..!!

  
  
  
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• Par Anonyme-77656, le 26 mar à 08:00

  

  Moi aussi

  Moi aussi, lorsque j'étais directeur, j'ai pensé à en finir, à cause de l'attitude de mes collègues, que quelques uns s'appliquaient à liguer contre moi.
  
  Je regrette qu'ils n'aient pas davantage réfléchi à la portée de leurs actes et n'aient pas pris le temps d'analyser par eux-mêmes les situations, sans se laisser influencer.
  
  Tout ceci est dû à l'absence de statut spécifique du directeur d'école primaire qui doit faire le même travail qu'un chef d'établissement du secondaire, avec les mêmes responsabilités, sans en avoir ni la rémunération, ni les moyens, mais également, en ayant la charge d'une classe, même avec des effectifs similaires à ceux d'un collège.
  
  Et cette absence de statut, on la doit à la diabolisation du directeur entretenue par certains de nos syndicats.
  
  A cette absence de statut s'ajoute un flou au niveau des textes, qui fait que le directeur passe son temps à essayer de faire se concilier les habitudes et coutumes locales et les textes de loi qu'on lui demande de faire respecter. Alors très vite, un directeur consciencieux se retrouve en porte-à-faux et soit il plie, soit certains essaient par tous les moyens de le faire plier, et le fait que ce soient des collègues, ce qui est très courant, même si notre milieu essaie au maximum de le nier, c'est encore plus affreux.
  
  Je ne dois ma survie qu'à ma révolte, au soutien de ma famille parce que je ne me suis pas tue, et j'ai aussi eu la chance d'avoir un inspecteur qui m'a soutenu, ce que je sais ne pas être toujours le cas, car on n'aime pas les vagues, dans notre milieu, et celui qui en fait, même s'il est dans son droit, représente un danger.
  
  Je présente mes condoléances à sa famille et j'adresse toute ma sympathie à tous les directeurs d'école de France et particulièrement à ceux qui souffrent.
  
  Personnellement, j'ai abandonné la fonction, et je revis.

  
  
  
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• Par Anonyme-77656, le 26 mar à 08:09

  

  Certainement pas à l'enseignante qui s'était faite son ennemie

  Certainement ! Responsable mais pas coupable ... On a déjà connu ça. Harceler mais ne pas se sentir responsable quelle honte ! Honte à eux et à l'administration qui a laissé faire !

  
  
  
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• Par Anonyme-77656, le 26 mar à 10:19

  

  Les directeurs sont niés

  Sans statut, sans pouvoir, mais avec l'obligation de retranscrire auprès des enseignants les directives de la hiérarchie, les directeurs sont trop facilement le fusible que l'Inspecteur pourra faire sauter, le défouloir que les enseignants pourront utiliser comme punching-ball, le représentant de l'école pour tout le monde (parents, mairie, élèves...), le rôle sur lequel syndicat majoritaire se plait à jeter l'opprobe.
  
  A quand une politique courageuse pour l'école primaire, qui mette un directeur avec la possibilité de piloter dans l'école et qui soit protégé des personnes nuisibles qui savent très bien harceler quand ils ne risquent rien !

  
  
  
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• Par Anonyme-77656, le 26 mar à 11:56

  

  Adieu camarade

  J'ai connu aussi cette double contrainte qui rend fou; être responsable de tout en ayant autorité sur rien. J'ai connu le harcèlement, la morgue, la méchanceté d'adjoint refusant par idéologie ou confort personnel le moindre pilotage, la moindre organisation sous prétexte que directeur c'est juste le gars qui s'occupe de la paperasse.Ils ont raison, on est rien. Connaissez-vous beaucoup d'usine où celui qui gère, encadre, pilote, produit aussi les pièces sur la machine, machine sur laquelle il n'a jamais eu de formation et qui plus est, souvent, s'est débrouillé tout seul pour la financer à l'aide d'associations plus ou moins détournées de leur but?
  
  Alors oui Marc était un chêne fragile qui cache l'immense forêt des directeurs-trices de ce paysqui aspirent à ce que leur fonction aujourd'hui soit reconnue comme un métier.
  
  Marc ; salut camarade , famille; mon coeur saigne car cela aurait pu être la mienne il y a 1 an.

  
  
  
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• Par Anonyme-77656, le 26 mar à 12:47

  

  impardonnable

  Nous sommes totalement dans le harcèlement moral .Basé sur la jalousie.Dans le cas présent l'institution n'est pas en cause , mais bien la bêtise humaine .Voilà ce que l'on vous réserve quand vous voulez faire évoluer les choses , quand l'intérêt premier est celui des enfants.

  
  
  
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• Par Anonyme-77656, le 26 mar à 15:13

  

  Si, l'enseignante harceleuse

  Si, l'enseignante harceleuse est responsable.
  
  Si, les collègues muets voire dans le camp du plus facile sont responsables.
  
  Si, les syndicats qui se cachent derrière leur idéologie irréaliste sont responsables.
  
  Si, la hiérarchie est responsable dans son "pas de vagues".
  
  Arrêtons de nous cacher derrière le "système", fantôme qui serait responsable de tous les mots.
  
  Le système est fait par des hommes.

  
  
  
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• Par Anonyme-77656, le 26 mar à 18:42

  

  Mais l'inspecteur mènera-t-il

  Mais l'inspecteur mènera-t-il l'enquête pour en savoir plus ?
  
  Prendra-t-il des sanctions contre les collègues ?
  
  Refusera-t-il que la collègue à l'origine des maltraitances prenne l'intérim jusqu'à la fin de l'année voire pire, devienne titulaire du poste ?
  
  Sa femme portera-t-elle plainte contre les coupables ?

  
  

  Pour tous les directeurs victimes de ce type de comportement, et il y en a beaucoup trop, il est urgent que ce soit fait.
  
  Et pour respecter la mémoire de cet homme.

  
  
  
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• Par Anonyme-77656, le 26 mar à 23:31

  

  Que l'émotion n'égare pas...

  Attention.Dans le monde du travail, les suicides de subalternes sont peut-être proportionnellement plus nombreux... Les petits chefs, forts de quelque pouvoir, pourraient bien faire plus de dégâts!
  
  Alors, des chefs d'établissement à l'école primaire... peut-être... mais assurément pas sans véritable sélection, sans véritable formation.

  
  
  
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• Par Anonyme-77656, le 28 mar à 09:00

  

  une autre...

  Notre charge est si lourde, nous sommes exposés, critiqués, dénigrés, niés...par ceux qui sans complexe aucun, disent vouloir transmettre des valeurs aux enfants qui nous sont confiés, sûr: est exclue la solidarité!! Il suffit d'un meneur, dans la toute puissance, qui sait argumenter et veut imposer ses règles pour pourrir une équipe et vous vous retrouvez seule à faire face au harcèlement de votre collègue qui parle "au nom de tous" J'aurais pu sombrer sans l'aide précieuse de mes Atsem et de mon Inspecteur. Et pour avoir discuté avec d'autres directeurs je ne suis pas la seule à avoir été au bord de la dépression et du suicide...

  
  
  
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• Par Anonyme-77656, le 28 mar à 10:30

  

  Réaction solidaire

  Je suis profondément touchée par ce drame, pour cette famille en souffrance, et parce que j'ai vécu exactement la même situation. Après deux longues années de vaines tentatives pour faire accepter ma nomination, de réunions stériles, de concertations réfléchies, mais aussi de coups bas, mes collègues sont finalement partis et l'école peut enfin revivre. Mais cette expérience me poursuit encore et j'ai eu moi aussi des moments de doutes et de désespoir.
  
  J'adresse une pensée émue et sincère à la famille de ce collègue ainsi qu'à son entourage.
  
  J'ai moi-même pu résister mais je porte encore aujourd'hui le poids de ce rejet, et je me suis sentie très seule durant cette période.

  
  
  
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• Par Anonyme-77656, le 28 mar à 14:49

  

  Plus jamais ça

  DIR74, fatima77? paslol, gouvion, Grégoire21, Samuel, ND, Gaetan solo, et combien encore sommes-nous à supporter l'insupportable au nom du sens des responsabilités? L'histoire de Marc est terrible, mais surtout très répandue.
  
  J'étais à la cérémonie mercredi dernier.. J'ai repensé à mon expérience d'il y a deux ans. Je m'en suis sorti. Marc non...
  
  Tout le monde n'a pas un bon IEN.
  
  Et qu'on ne nous dise pas que l'embauche massive d'enseignants règlera le problème. C'est la fonction qu'il faut repenser. Le rapport REISS n'attend qu'un peu de courage pour déboucher sur un statut.

  
  
  
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• Par Anonyme-77656, le 28 mar à 17:41

  

  L'administration ne comprend pas

  Mon épouse a subit exactement la même situation. Très bon rapports d'inspections, puis le poste de direction. Aujourd'hui elle est en dépression, et s'est effondrée à la lecture de l'article. Au final, l'administration met en cause ses compétences. Mais il y a au moins une personne heureuse, l'institutrice qui voulait le poste, l'a finalement eu...
  
  Je compatie à la douleur de la famille de Marc.

  
  
  
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• Par Anonyme-77656, le 28 mar à 20:12

  

  des commentaires sans savoir...

  au delà du drame et de la douleur pour la famille, certaines choses m'interpellent dans cet article. originaire de la région et connaissant le petit monde de l'enseignement, tout n'est pas aussi blanc ou noir (cela dépend de quel côté on se place). cet enseignant a éxercé à émeringes. les circonstances de son départ de cette école pourraient être mises en lumière... d'autre part, une institurice serait principalement mise en cause sous prétexte qu'elle désirait avoir le poste de directeur. Poste qu'elle n'aura pas car elle part en retraite! par ailleurs, cette école n'est pas connue pour "exclure" les élèves. au contraire, elle utilise tous les moyens à sa disposition pour mettre en place les procédures nécessaires à une bonne adaptation des élèves en difficultés (médecin et psychologue scolaire, équipe éducative, aide personnalisée...). enfin, le harcèlement moral est une infraction pénale. or, selon d'autres sources, le parquet a semble t-il conclu que ce suicide était sans lien avec une infraction. certains diront que mon commentaire "tire sur le corbillard", mais il s'agit simplement de prendre du recul, faire preuve de réflexion et d'avoir une analyse plus approfondie avant de juger telle ou telle personne. mais pour cela, il faut avoir tous les éléments d'information, et chaque situation vécue est différente selon les personnes. il n'empêche que je m'associe à la peine de la famille, car il s'agit d'un drame humain, brutal et violent, pour les proches, les enseignants et les enfants de cette école.
  
  pour aller plus loin dans la réflexion, une visite médicale du travail aurait pu permettre à cet enseignant de mettre en lumière ses difficultés, un droit d'alerte pourrait être mis en place afin qu'un enseignant en proie a un mal être persistant puisse solliciter sa hiérarchie ou encore donner un statut, une formation adaptée et validée par la hiérarchie et les organisations syndicales réunies lors d'une commission...

  
  
  
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• Par Anonyme-77656, le 28 mar à 20:27

  

  en sortir.... les pieds devants

  Cela a bien failli m'arriver aussi et c'est pour ça que comme pierre Favre j'ai été aux obsèques de Marc.
  
  J'ai eu l'impression d'assister aux miennes.
  
  Les flèches peuvent venir de partout au point de donner l'impression de devenir parano, de douter de tout et surtout de soi-même.
  
  Une seule manipulatrice peut faire beaucoup de mal.
  
  Le système a bon dos parfois.
  
  Paskal, ton intervention me trouble.
  
  Le harcèlement, quand il ne vient pas de la hiérarchie est encore moins prouvable car incompris.
  
  En assassinant Marc, c'est aussi une famille qui est effondrée. Personnellement, je serai à la place de la collègue dans la classe de qui Marc s'est pendu, j'irai plaider coupable en me dénonçant auprès des services de police.

  
  
  
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• Par Anonyme-77656, le 28 mar à 21:06

  

  Pourquoi ça ne changera pas

  davdu :"donner un statut, une formation adaptée et validée par la hiérarchie et les organisations syndicales réunies lors d'une commission..."

  
  

  Personne n'a jamais un problème de la sorte même en Chine Maoiste.

  
  
  
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• Par Anonyme-77656, le 28 mar à 21:12

  

  commentaires sans savoir...(BIS)

  Effectivement, davdu 01 ! il semblerait bien que tu commentes sans savoir !
  
  Une visite médicale ? Connais-tu l'absence TOTALE de médecine du travail (pour qui en a besoin) dans l'Éducation Nationale ? L'absence de suivi psychologique pour les collègues en bout de course et lâchement abandonnés par leur administration, leur hiérarchie pour ne rien dire des leurs organisations représentatives ?
  
  Mais peut-être le monde de l'enseignement est-il à tes yeux si "petit" que tu en as vite fait le tour !
  
  Quel beau mot que celui de "statut" que tu utilises ! C'est probablement de son absence réelle, elle, que Marc est décédé : pour n'avoir pas eu la protection juridique, institutionnelle qu'un membre de l'enseignement comme lui, directeur d'école, était en droit de réclamer pour se défendre dans une situation où il s'est certainement senti bien seul.
  
  Le parquet a conclu ? La belle affaire !
  
  Sans remettre en cause une décision de Justice, remarquons cependant la rapidité, la célérité d'une telle conclusion lorsque l'on sait la difficulté et la longueur de la reconnaissance du délit de "harcèlement moral" !
  
  Passé le temps des larmes, de la compassion, de la tristesse, commencerait-on à voir pointer celui du couvercle hermétiquement bien clos sur une affaire gênante ?

  
  
  
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• Par Anonyme-77656, le 28 mar à 21:38

  

  réponse à DIRECTEUR

  je pointe en effet de façon contructive les lacunes de cette administration : visite médicale, suivi psychologique, rôle de la hiérarchie et des organisations syndicales. il s'agissait de pistes de réflexion sur cette absence de mesures et non de dire que cela éxistait déjà! tout comme le fait qu'un statut devrait être mise en place...
  
  concernant le parquet, sa décision lui appartient et repose quoiqu'on en dise, certainement sur des éléments dont personne n'a connaissance.
  
  pour reprendre vos propos, il ne s'agit pas de mettre un "couvercle hermétiquement bien clos sur une affaire gênante" mais juste d'avoir du recul sur ce drame dont les causes peuvent être multiples...

  
  
  
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• Par Anonyme-77656, le 28 mar à 22:15

  

  N'y a-t-il pas de moyen

  N'y a-t-il pas de moyen qu'une association ;) se porte partie civile dans cette affaire afin qu'il y ait une véritable enquête, mettant au clair les conditions ayant conduit au suicide de ce collègue ?

  
  

  Moi aussi j'ai connu le harcèlement, moi aussi, j'ai dérépi à vue d'oeil mais ça ne les calmait pas.
  
  J'ai sauvé ma vie en arrêtant à temps, soutenue par ma familles, mes amis et mon ien.
  
  Je suis maintenant remplaçante, et je reprends peu à peu ma confiance en moi.

  
  
  
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• Par Anonyme-77656, le 29 mar à 06:58

  

  @ davdu01

  Nous sommes donc, en gros, assez d'accord ! Mais cette "affaire" met le doigt sur tellement de dysfonctionnements, d'incohérences que pour ceux, comme moi ou d'autres, qui sommes impliqués à des degrés divers par cet acte extrême, elle prend valeur de symbole...

  
  
  
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• Par Anonyme-77656, le 29 mar à 17:40

  

  Journalisme ?!?

  Quel journalisme ! Mettre ainsi en cause des personnes sur le seul témoignage d'une famille détruite par cet acte tragique. Quelle enquête ? L'autre partie a-t-elle été entendue ? A-t-on cherché à en savoir plus ? Je n'ai rien vu de tel dans cet article à charge. Quelle facilité !!!! J'avoue que je ne sais quoi penser avant de vraiment savoir !

  
  
  
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• Par Anonyme-77656, le 30 mar à 09:24

  

  Désinformation!!!

  M.Rovira, journaliste de profession? Mais quelle éthique vous porte à écrire de telles choses?
  
  Bien sûr que les paroles d'une veuve ne peuvent être qu'empreinte de douleur , de révolte et d'accusation...dans un tel drame on cherche un coupable car on ne comprend pas..ceci est humain ..Mais vous le professionnel, n'est-ce pas votre devoir de faire "la lumière" pour informer vos lecteurs? Nager dans le pathos , les approximations, les inepties vous importent peut puis que c'est vendeur !!Quelle facilité, quelle lâcheté et amateurisme..
  
  Je connais plus de choses que vous sur cette affaire et la lecture de votre article m'a donné la nausée..Vous n'êtes pas le seul ainsi, ce qui est encore plus affligeant !Seul un de vos confrère a su relater "objectivement" ce fait divers gravissime pour tous et... surtout pour des enfant qui lisent la presse et entendent se colporter des amas d'horreur.

  
  
  
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• Par Anonyme-77656, le 30 mar à 09:27

  

  Pour Louise B.

  Je suis institutrice et je veux dire à ma directrice que nous sommes heureuses, nous les collègues, de l'avoir à ce poste. Nous ne te le disons pas assez souvent : Louise, merci de faire la direction de notre école !

  
  
  
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• Par Anonyme-77656, le 30 mar à 09:41

  

  quelle tragédie !!

  Très émue par cet article, n'étant pas institutrice, je tombe des nues ! je compatie à la douleur de sa famille sincères condoléances

  
  
  
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• Par Anonyme-77656, le 30 mar à 10:08

  

  hélas , mais oui.

  Le harcèlement et la jalousie sont fréquemment présents dans les écoles, collèges et lycées.... j'en sais quelque chose, par pudeur et fierté l'on se tait, et puis un jour on craque..; malgré l'affection et l'intéêt que nous portons aux enfants, dans un dévouement qui nous épuise parce que pas d'appui des collègues, qui envient l'affection que nous portent les enfants...on se sent seul face à la lourde tâche qui est d'enseigner, intégrer et éduquer les enfants.

  
  
  
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• Par Anonyme-77656, le 30 mar à 13:52

  

  Le management français

  Je retiens des commentaires un élément recurrent de presse française qui est celui du "Management à la française", basé sur une culture du non-dit, un flou constant dans la définition des responsabilité et de l'absence de valorisation des deux parties. Merci à tous ceux qui permettent à des gens comme moi, qui ne travaillent pas dans l'éducation, de mieux comprendre ce qui s'est passé dans ce terrible drame. Personnellement, je ne vis plus en France. Je vis dans un pays que la presse française adore snober et montrer du doigt, afin de mieux nier les propres failles de notre pays dans de nombreux domaines. Les moyens donnés aux écoles primaires ici, alliés à un système de Management "humain" font de l'éducation primaire un environnement fabuleux pour les enseignants et enfants. Je regrette que l'éducation française pousse des gens à bout. Et les témoignages suite à ce drame prouvent que le système est défaillant.
  
  Mes condoléances à sa femme et tous ceux qui l'aimaient.

  
  
  
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• Par Anonyme-77656, le 30 mar à 13:56

  

  Ambition, Orgueils, Prétentions Mépris...

  Peut importe ce que l'on croit espère ou imagine...
  
  Un supérieur hiérarchique choisi qu'il veut pour un poste. En générale sauf à être son ou sa pote, la personne choisie est en général compétent pour le poste; Sans pour autant dénigré l'intérimaire,
  
  qui s'est monté le bourrichon.

  
  

  Je ne crois pas que cette dernière soit blanche dans cette histoire; le geste est trop grave pour en douter. En définitif est a elle gagné de bon souvenirs pour le reste de ses jours, c'est vrai qu'elle pourra dire "je n'ai rien fait, je ne suis pas responsable de ça". Le témoin intérieur se chargera de lui rappeler que "oui".

  
  
  
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• Par Anonyme-77656, le 30 mar à 21:31

  

  @ veritas

  "Je connais plus de choses que vous sur cette affaire "
  
  avec un tel pseudo, il serait dommage de les garder pour vous!
  
  ce serait aussi de la désinformation!

  
  
  
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• Par Anonyme-77656, le 31 mar à 09:57

  

  J'attends

  J'attends toujours des réponses. Notre journaliste est-il déjà passé à autre chose ? Je n'aurai donc rien pour me faire une véritable idée sur cette affaire. Rien de plus que l'émotion d'une famille déchirée ! Est-ce suffisant ? Je ne le crois pas !

  
  
  
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• Par Anonyme-77656, le 31 mar à 17:48

  

  Réponse à " moiaussi"

  Si mes propos n'engageaient que ma personne il y a longtemps que ma langue serait déliée ici ou ailleurs..Pour vous éclairer, ou vous permettre d'élargir votre champs de réflexion,recherchez l'article du Patriote Beaujolais du 24 mars... Le journaliste a pris la peine d'enquêter sous plusieurs angles et en remontant le temps méthodologiquement...
  
  Mais voilà voir les choses par le petit bout de la lorgnette arrange la moitié du monde et creuser profondément dérange l'autre moitié...Dans notre société les raccourcis rapides riment forcément avec stupides...

  
  
  
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• Par Anonyme-77656, le 1 avr à 06:22

  

  Patriote Beaujolais

  1) Veritas, j'ai cherché l'article sur le net, je ne pense pas trouver l'édition papier là où je me trouve. Je n'ai trouvé que le titre d'un article, merci de nous le reproduire et de les porter à notre connaissance.
  
  2) Je ne fais aucun raccourcie mais je me renseigne justement, des propos tel que "Si mes propos n'engageaient que ma personne il y a longtemps que ma langue serait déliée ici ou ailleurs" ne sont pour moi que de la langue de bois pour tenter de noyer le poisson des faits :
  
  un directeur s'est pendu sur son lieu de travail pendant son temps de travail, dans la classe d'une collègue qu'il accuse de harcèlement. Ce sont pour l'instant les seuls faits dont je dispose. C'est certes un peu court, mais je ne demande qu'à en connaitre d'autres. Que ceux qui n'ont rien de plus à dire se taise!

  
  
  
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• Par Anonyme-77656, le 1 avr à 11:23

  

  Peu importe

  Peu importe la raison (les raisons...) réelles de ce suicide, il apparaît surtout que le collègue s'est pendu dans une classe (à fortiori celle d'une collègue ressentie par lui comme manipulatrice) et ainsi lui-même fait un lien évident entre sa mort et son travail.savoir ce qu'il a vécu dans telle autre école ou pas m'importe peu: seul son présent comptait à ce moment-là...J'ai moi-même eu à subir il y a quelques années un collègue défaillant dans son attitude, ai été soutenu par mon syndicat et mon inspectrice. Le collègue est parti, et depuis, quelle belle ambiance constructive dans l'école! Marc, avec son geste terrible, soulève le problème de la solitude des directeurs d'école. En réponse à Dav01: A lire tous ces témoignages de directeurs sans statut harcelés par des collègues manipulateurs et destructeurs, on voit bien qu'il n'est pas nécessaire de connaître toute la vie de Marc:il y a bien un problème réel, concret, dans cette fonction. Quand allons-nous être entendus, alors que le syndicat le plus important nie le statut? et que vive le GDID...

  
  
  
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