Jean-François Copé a copieusement critiqué François Hollande mardi matin, considérant que le programme du socialiste était « très timoré » et « très rabougri ».
La journée de lundi fut essentiellement marquée par les réactions du Parti socialiste concernant l'interview de Nicolas Sarkozy dimanche. Les rôles se sont inversés mardi, notamment à l'initiative de Jean-François Copé. Invité de Radio Classique et Public Sénat, le secrétaire général de l'UMP a copieusement critiqué François Hollande, dénonçant notamment le programme présidentiel du candidat du PS.
« Ce n'est pas étonnant que les propositions de Nicolas Sarkozy soient maintenant au coeur du débat public, compte tenu du caractère très timoré, très rabougri du projet de M. Hollande, qui est un peu à l'ancienne quand même », a-t-il commencé. Et de poursuivre : « Remettre les 35 heures à fond, la retraite à 60 ans pour une partie de la population, des hausses d'impôts à tous les étages, c'est sûr qu'avec ça, on ne bouleverse pas le débat public ! ».
« En revanche assumer que le rendez-vous numéro 1 du pays, c'est un rendez-vous de compétitivité et qu'on va gagner ce rendez-vous de compétitivité pour l'emploi et le pouvoir d'achat des Français, je comprends que ça fasse débat », a continué Jean-François Copé, dénonçant donc le manque de courage du candidat Hollande. « Aller faire campagne comme le fait M. Hollande pour dire: à bas les riches, vive les augmentations d'impôts et surtout ne faisons pas de réformes courageuses, vous trouvez que c'est enthousiasmant ?, a-t-il encore dit. C'est sans doute une manière d'aller chercher le pouvoir à n'importe quel prix, sauf par un rendez-vous de courage. »
Sous-entendu, l'actuel chef de l'État et probable futur candidat de l'UMP est, lui, un homme de courage, comme Copé l'avait déclaré dimanche soir. Nicolas Sarkozy a « tracé un chemin, avec certes des efforts, des décisions courageuses mais aussi une espérance », avait résumé le secrétaire général du parti majoritaire.
Ces gens de l'UMP doivent avoir des craintes pour leurs privilèges pour en arriver à utiliser de tels termes ! De la hauteur chers élus ! ! !
François Copé … Quand ce Monsieur parle c’est Nicolas Sarkozy qui perd du terrain Oui, il a tendance à parler avec un ton menaçant –D'où diantre ! Où Copé a-t-il sitôt appris à faire intimider les politiques ? Pour qui se prend-t-il ? Et surtout sa façon de « déculotté » les Politiques adversaires ? Et dire que l’interview presque exclusive de Copé à la Radio Classique et Public, vient de démontrer encore que le Secrétaire général de l’UMP en un incantateur médiatique ne donne que des réponses ironiques sous forme de discours pompeux démobilisateurs à coup sûr. A mon avis, chacune de ses interventions révèle une sorte d’état de faiblesse politique dans l’UMP qu’il gère aussi mal. La preuve : Le Président de la République ne compte que sur son actif et concocte son propre projet en dehors de toute consultation à l’UMP et ses conflits Copé /Fillon, Dati et compagnie pour se caser à Paris. Bof... J’avoue ne pas être surpris de François Copé. Un ’Enarque fort médiocrement sorti d’une promotion aussi prestigieuse comme devise ‘’ Liberté – Egalité –Fraternité ’’ datant de 1790. Dommage ! Elle est souillée par un mauvais élève qui ne prône que l’hypocrisie. Oui, c’est de l’hypocrisie avérée. Au Mois D’avril 2011, il avait lancé timidement avant que Borloo ne se désengage totalement de l’UMP ‘’ Je préfère une famille rassemblée qu'une coalition de partis’’ Vous voyez ! Copé minimise l’engagement de Borloo pour ensuite le louer grandement lorsqu’il renonce à sa candidature. Pourtant, François Copé sait pertinemment que Borloo radicalisé depuis fort longtemps jouit d’une côte de popularité plus grande que celle du Parti Communiste, aurait porté et surement préjudice au déroulement du vote UMP. Enfin, le comportement de Copé à l’UMP laisse à désirer si ce n’est la sagesse de Sarkozy plus politisé ménage la droite de façon plus active et diplomatique pour éviter le passage de l’UMP dans la phase d’une droite à plusieurs candidats qui tend vers la dispersion massive des voix. Une « débâcle » sûrement. Bravo ! Sarkozy.
François Copé … Quand ce Monsieur parle c’est Nicolas Sarkozy qui perd du terrain Oui, il a tendance à parler avec un ton menaçant –D'où diantre ! Où Copé a-t-il sitôt appris à faire intimider les politiques ? Pour qui se prend-t-il ? Et surtout sa façon de « déculotté » les Politiques adversaires ? Et dire que l’interview presque exclusive de Copé à la Radio Classique et Public, vient de démontrer encore que le Secrétaire général de l’UMP en un incantateur médiatique ne donne que des réponses ironiques sous forme de discours pompeux démobilisateurs à coup sûr. A mon avis, chacune de ses interventions révèle une sorte d’état de faiblesse politique dans l’UMP qu’il gère aussi mal. La preuve : Le Président de la République ne compte que sur son actif et concocte son propre projet en dehors de toute consultation à l’UMP et ses conflits Copé /Fillon, Dati et compagnie pour se caser à Paris. Bof... J’avoue ne pas être surpris de François Copé. Un ’Enarque fort médiocrement sorti d’une promotion aussi prestigieuse comme devise ‘’ Liberté – Egalité –Fraternité ’’ datant de 1790. Dommage ! Elle est souillée par un mauvais élève qui ne prône que l’hypocrisie. Oui, c’est de l’hypocrisie avérée. Au Mois D’avril 2011, il avait lancé timidement avant que Borloo ne se désengage totalement de l’UMP ‘’ Je préfère une famille rassemblée qu'une coalition de partis’’ Vous voyez ! Copé minimise l’engagement de Borloo pour ensuite le louer grandement lorsqu’il renonce à sa candidature. Pourtant, François Copé sait pertinemment que Borloo radicalisé depuis fort longtemps jouit d’une côte de popularité plus grande que celle du Parti Communiste, aurait porté et surement préjudice au déroulement du vote UMP. Enfin, le comportement de Copé à l’UMP laisse à désirer si ce n’est la sagesse de Sarkozy plus politisé ménage la droite de façon plus active et diplomatique pour éviter le passage de l’UMP dans la phase d’une droite à plusieurs candidats qui tend vers la dispersion massive des voix. Une « débâcle » sûrement. Bravo ! Sarkozy.
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