Nicolas Sarkozy a affirmé mardi que ''l'anonymat n'avait pas sa place'' dans les parrainages d'élus pour les prétendants à l'Élysée.
Le débat sur les parrainages et l'anonymat des élus apportant leur signatures aux candidats à l'élection présidentielle est loin d'être clos. Nicolas Sarkozy lui-même s'est invité dans la discussion, mardi, à l'occasion du petit-déjeuner de la majorité. Pour le chef de l'État –probable futur candidat de l'UMP– l'anonymat des parrainages « n'a pas sa place », a rapporté l'un des participants auprès de l'AFP. Une déclaration qui confirme la position du président sur le sujet, comme le rappelle l'entourage de Nicolas Sarkozy. « Il est contre l'anonymat, il l'a déjà dit, le Premier ministre (François Fillon) est sur la même ligne, sa position a toujours été la même », souligne un proche du président.
La publicité des parrainages, instaurée en 1976, est une règle régulièrement fustigée par certains candidats à la fonction présidentielle et notamment Marine Le Pen. La présidente du Front national assure que, du fait de cette publicité, de nombreux élus ne veulent pas lui accorder leur signature de peur d'être sanctionnés par la suite – soit par leur parti, soit par leurs électeurs. Le Pen a d'ailleurs déposé une question prioritaire de constitutionnalité en ce sens. Le Conseil constitutionnel doit se prononcer avant le 22 février, date du Conseil des ministres devant examiner le décret de convocation des électeurs.
L'actuel locataire de l'Élysée n'aura aucun problème à réunir les 500 parrainages nécessaires à sa candidature, s'il se lance finalement dans la course. Si elle n'est pas encore officielle, sa candidature est cependant plus que probable. Il y a aura « des idées nouvelles dans cette campagne », a-t-il ainsi déclaré mardi lors du petit-déjeuner de la majorité avant d'assurer ses troupes de sa présence : « Vous pouvez compter sur moi ! », a dit Nicolas Sarkozy.
La présidente du Front national a écrit à François Fillon pour lui demander l'anonymat des ...
41 commentairesde la boucherie disais je subie en 14-18 et ses 1,5 millions de morts et ses millions de blessés et mutilés !alors bien sûr tous les Français pratiquement étaient pacifistes pour ne pas revivre ça ! c'est facile 72ans après de jouer les héros de la résistance comme Sopo(!!) et tant d'autres ..
Je prépare le champagne pour fêter la fin de cinq très longues et horribles années. DIx-sept ans ça suffit.
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