Vingt ans après avoir connu le succès grâce à Disney, elle est tombée dans l’oubli. Elle raconte.
Pour les moins de 30 ans, le nom de Douchka n’évoque rien, sinon peut-être la candidate malheureuse de 1re compagnie, la télé-réalité de TF1 en 2005. Pour les autres, Douchka restera à jamais la petite princesse aux cheveux d’or de Disney. Après un succès éphémère dans les années 1980, la petite copine de Donald et Mickey est tombée dans l’oubli, accumulant galères et déboires. A 47 ans, elle lève le voile sur une vie chaotique dans une autobiographie intitulée Mes ailes brûlées, dans laquelle elle casse son image de jeune femme modèle qui chantait en robe d’écolière rose et blanc. Elle parle de son divorce, de ses relations violentes avec les hommes, de ses dettes. Vedette, puis ruinée et SDF… Retour sur un destin brisé.
1985 : elle est la petite fille la plus aimée de France. Elle a 19 ans et gagne 45.000 F par mois (environ 6.750 €). 1989 : Douchka fait une « overdose Disney ». Ras le bol de chanter toujours les mêmes chansons, elle veut un répertoire plus pop. Son producteur, « Mémé », la quitte. Le nouveau PDG de Disney de l’époque, Pierre Sissmann, lui propose de signer un nouveau contrat avec la marque. Elle refuse ! « Ça a été ma plus grosse erreur, car ça a stoppé ma carrière alors que j’aurais pu être connue à l’international. »
Dans la foulée, elle se marie avec un homme qui la trompe, Angelo, mais qu’elle aime éperdument. Elle s’enferme dans une vie de « mamma sicilienne » : elle reste aux fourneaux, ne sort plus. Ne travaille pas. L’argent s’est évanoui, les dettes s’accumulent. Elle dépend complètement de son mari avec qui elle aura trois enfants. Elle ne paie pas ses impôts, le fisc lui réclame 400.000 €. Elle divorce, oppressée par la vie monacale que lui impose son époux. Les huissiers la poursuivent. Elle rencontre un autre homme, Vladimir. Mais plus personne ne veut d’elle. Pour remonter la pente, Douchka se présente au casting de la comédie musicale Notre-Dame de Paris. Un échec. Son ami Fabien Lecœuvre lui propose de devenir journaliste pour le magazine de jeunes Trop cool. La déroute. Elle devient vendeuse dans un magasin de luxe, avenue Montaigne à Paris.
En 2005, elle participe à 1re compagnie et devient pour quelques mois présentatrice de télé-shopping sur TF1. En 2009, elle publie un nouveau disque, Bojidarka (son vrai nom est Bojidarka Esposito), vendu aujourd’hui à 2.000 exemplaires. « Je ne désespère pas d’en vendre encore… » En 2013, elle espère renouer avec le succès avec une comédie musicale pour enfants. « Je reprendrai sûrement quelques-unes de mes chansons de Walt Disney. » Mais chut ! c’est confidentiel. Elle vit désormais dans un appartement à Marseille avec ses trois enfants. Elle a encore des problèmes d’argent. « Ce n’est pas facile mais je me bats. »
Douchka a donc joué franc jeu. Elle est même dure lorsqu’elle parle d’elle-même. « Je suis comme Marie-Madeleine, je ne suis pas une femme de vertu. » Explication : « Je dis ça parce que mon mariage a été un échec. C’est en faisant des expériences qu’on apprend. Pour moi, une femme de vertu évite de faire des mauvaises expériences. » Triste constat pour une femme malmenée en amour par des hommes exclusifs, excessifs et violents. « Aujourd’hui, je suis capable d’aimer sans concession, mais je ne m’embarque plus dans une histoire si l’homme ne me manifeste pas des qualités morales. » Aujourd’hui, tout est derrière elle et elle veut être à nouveau numéro un.
Mes ailes brûlées, de Douchka, éd. du Rocher, 216 p., 19,90 €.
Douchka n’hésite pas à écrire qu’au milieu des années 1990 la drogue était devenue son « cocon ». « A cette période, la drogue, c’était le cannabis. J’allais mal. J’allumais un joint le matin au réveil. Cette chute a duré deux ans. » Pourquoi de telles révélations ? « Dans une autobio, il faut être sincère. Mais elle montre mon désir d’avancer. J’ai souvent versé quelques larmes en écrivant tout ça. »
Elle essaie d'éxister en rerererereracontant ..mais on s'en fou de ses hitoires et de ses pétards..si elle avait un réel talent elle serait encore là..."comme Line Renaud"..alors qu'elle arrête de se morfondre sur son sort il y a beaucoup plus grave dans la vie
Si Douchka m’était contée...`
Il serait bon que Douchka cesse de se poser en victime depuis tant d’années et de se moquer du monde en travestissant la vérité au delà de toute vraisemblance. Dans son livre autobiographique parut dernièrement, et qui déjà suscite diverses révélations troublantes. En 1981, Mémé Ibach (producteur de Karen Chéryl et beau-père de Douchka) signe un contrat d'exclusivité de 10 ans à une jeune chanteuse lyonnaise de 16 ans , qu'il avait auditionnée et engagée immédiatement pour chanter pour les enfants.Douchka et sa mère ont demandé à cette jeune fille de chanter une chanson, cette jeune chanteuse ne l’avait pas encore terminé que Douchka s'est écriée "maman, je veux faire comme elle, je veux chanter comme elle!" Douchka et sa mère ont profité de la crédulité et de la naïveté de cette jeune artiste qui croyait tant en son métier et qu'on a voulu mettre sous l'éteignoir, pour éviter que cela ne nuise aux propres intérêts de Douchka, qui en fait s’est tout simplement appropriée une place, qui ne lui convenait pas et surtout ne lui appartenait pas.
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